« Jean-Luc Mélenchon a profité de l’émission Elysée 2022 pour porter des propositions radicales d’écologie sociale, des propositions cruciales pour l’avenir de l’humanité. Enfin, un candidat à l’élection s’engage à rehausser les objectifs français de réduction des émissions de gaz à effet de serre souligne Sarah Fayolle, chargé de mission transport, climat et pollution chez Greenpeace.
Première mesure urgente : fermer les élevages intensifs. « Nous en assumerons les coûts pour les éleveurs » rassure le candidat à l’élection présidentielle. Des poules passent une vie entière sur un espace équivalent à une feuille de papier A4 et un agriculteur se suicide tous les deux jours. Il faut une rupture totale avec ce système”.
Face au mutisme (au mieux) ou l’hypocrisie (au pire) de la classe politique, Jean-Luc Mélenchon a le courage de parler de la sobriété nécessaire à une véritable bifurcation écologique.
Le candidat de l’Union populaire l’affirme : « Nous pouvons consommer moins mais consommer mieux » et les Français le savent. 68% estiment qu’on consomme trop de viande en France et 24% ont déjà sauté le pas et la réduisent déjà selon Avise. Le peuple est prêt, la France est le pays de la gastronomie, pas le pays de l’abattage en chaîne d’animaux enfermés. La France est le pays des plats du terroir, produits et préparés avec l’amour du travail bien fait et des bons repas assis à table pour se retrouver, rire et refaire le monde.
Le programme qu’il démontre pouvoir appliquer intégralement s’il est élu, dessine un avenir souhaitable, une manière de vivre plus respectueuse des êtres humains et de la nature. Sarah Fayolle termine son tweet élogieux par une question : “Peut-on en parler ?” L’Union Populaire s’engage à accueillir à bras ouverts toutes les personnes qui veulent discuter sur la meilleure manière d’appliquer le programme l’Avenir en Commun. »
Journal de l’insoumission 11 février 2022
Article Journal de l’Insoumission